Croixdécorée des 14 stations du Chemin de Croix aux détails colorés et dorés. Avec cette croix, méditez au sacrifice de Jésus pour le salut des hommes. LIVRAISON GRATUITE DÈS 49€ (+33) 05 62 92 25 00; service-client@ Contactez-nous; fr . Français; English; Italiano; Blog . CHAPELETS. CHAPELETS
Cemontage vidéo est un Chemin de Croix dont les 14 stations proviennent de l’église St Symporien de Pfettisheim (Alsace). Les médaillons sont une véritable
Pourprier ce Chemin de croix, veuillez compléter les stations avec des chants et des prières qui vous sont familiers et connus. Nous vous souhaitons une bonne méditation. Que Jésus-Christ, le Ressuscité, vous fasse découvrir la présence de l'amour de Dieu dans le monde ! 1re station : Jésus est condamné à mort Jésus et les puissants
Lesmédaillons du chemin de croix représentant 14 stations de la Passion du Christ ont été sculptés par le soldat Wargnier, alors en convalescence au refuge sanitaire de Porquerolles. Après sa démobilisation, il s'installera comme sculpteur à Bethisy-Saint-Pierre (60). Il réalisera plusieurs sculptures en bois pour l'église, dont un
14stations chemin de croix Photos Stock & Des Images (546) Filtres rapides : Noir & blanc Page 1 sur 6 RF T8TN1B – Reliefs du sculpteur Georg Kemper, 1880-1948, Jésus Christ 14 stations de la Croix, Mittelehrenbach, Haute-Franconie, Bavière, Allemagne
EnStock. 7,90 € TTC. Quantité. Ajouter au panier. Croix en bois de 30 cm. Cette croix est magnifiquement décorée des 14 stations du Chemin de Croix aux belles couleurs et reflets dorés. Au centre la dernière station, la Résurrection du Christ le jour de Pâques. Avec cette croix méditez sur Sa souffrance et découvrez la profondeur de
Lemétro de Paris est l'un des systèmes de transport en commun desservant la ville de Paris et son agglomération.Exploité par la Régie autonome des transports parisiens (RATP), il comporte seize lignes essentiellement souterraines, totalisant 226,9 kilomètres et 308 stations. Devenu l'un des symboles de Paris, il se caractérise par la densité de son
Les14 stations du chemin de croix 27 Mai 2014 puis à nouveau dès 1745.Pour les travaux on a utilisé les pierres provenant du couvent Augustin de Schwartzenthann construit en 1117 et en ruine depuis 1543. La chapelle dispose d'un clocheton à bulbe qui est caractéristique du baroque allemand. Les vitraux du XIXe siècle sont l'œuvre d'un
Alorsil s’est levé pour terminer le Chemin de Croix qu’il avait accepté, comme Son noble sacrifice pour l’humanité. Aux gens qui vivent dans le péché, écoutent le
LECHEMİN DE CROİX CONTEMPORAİN Le Chemin de Croix contemporain peut être utilisé de façons diverses : • Trois ou quatre stations par semaine tout au long du Carême. Deux ou trois stations par jour, pendant la Semaine sainte. Une célébration unique le Vendredi saint, ou s’en servir comme base d’un atelier sur le Vendredi saint.
3BjD. I. Jésus est condamné à mort Une vingtaine de mètres au-delà de l’arc de l’Ecce homo, à droite de la rue qui conduit à la porte des Lions, une rampe donne accès au collège el-Omarîyé, dont la cour sert de point de départ au chemin de croix. C’est au XVIe siècle que le site commémorant la condamnation de Jésus fut déplacé des environs de l’ancienne chapelle de la Flagellation au palais du gouverneur le turc capigi-bashi, situé de l’autre côté de la rue. Il était, somme toute, logique que les pèlerins occidentaux finissent par associer le tribunal du gouverneur de la ville au lieu où Pilate avait condamné Jésus. C’est aussi le lieu de la forteresse hérodienne de l’Antonia. La plus grande partie des bâtiments remonte au XIVe siècle Madrasa al-Jawiliyya ou à la première moitié du XIXe siècle. Ils ont longtemps servi de caserne avant d’être transformés en école par les Anglais 1927. Une construction enserrée dans l’aile méridionale était identifiée avec la chapelle médiévale du Repos ou “chapelle du Couronnement d’épines”. De cet édifice, gravement endommagé en juillet 1927 par un tremblement de terre, il ne subsiste qu’un pan de mur et des fragments d’arcades. Le pèlerin aura de la terrasse du collège une belle vue sur le Haram esh-Shérîf. Situé en face du collège arabe, le couvent de la Flagellation est le siège d’une faculté biblique et théologique, le Studium Biblicum Franciscanum, auquel on doit d’importantes découvertes qui intéressent les origines de l’Eglise et les Lieux Saints. Au rez-de-chaussée du couvent, le Studium possède un musée d’archéologie et aussi la section multimédia du Terra Sancta Museum – Via Dolorosa du nouveau Edifiée au XIIe siècle, la chapelle de la Flagellation appelée en arabe Habs al-Masih ou “Prison du Christ” a connu bien des avatars, puisque les relations des pèlerins la décrivent comme un dépotoir, une écurie et une boutique de tisserand. L’endroit n’était plus qu’un monceau de ruines quand Ibrâhîm Pacha, vainqueur des Turcs, le céda aux franciscains en 1838. Hâtivement reconstruite dès l’année suivante grâce à la générosité de Maximilien de Bavière, la chapelle a été entièrement restaurée en 1927-1929 par A. Barluzzi. Les trois magnifiques vitraux du choeur, exécutés par L. Picchiarini d’après les cartons de D. Cambellotti, représentent la flagellation, le lavement des mains et le triomphe de Barabbas Mt 27,24-26. II. Jésus est chargé de sa croix La deuxième chapelle de l’enceinte des franciscains réunit les souvenirs de la condamnation et de l’imposition de la croix. Elle fut édifiée en 1903-1904 par un architecte franciscain, le frère Wendelin de Menden sur des restes précédents. Contre son mur extérieur est apposé le chiffre de la deuxième station, localisée avant 1914 devant une porte murée de la caserne, soit quelque 50 m à l’est. La chapelle possède des statues en bois et en papier mâché; l’une d’elles représente S. Jean qui essaie de cacher à Marie la vue de Jésus portant sa croix. Le pavement de la chapelle se compose de grandes dalles dont certaines offrent des stries et des jeux taillés dans la pierre, à l’instar de maints pavements romains. Il continue au nord de l’édifice jusque dans le musée et le couvent voisin des Soeurs de Sion. Ce dallage, généralement considéré comme le Lithostrôtos de l’évangile Jn 19,13 remonte selon toute vraisemblance à l’Aelia Capitolina de l’empereur Hadrien. Le site de l’arc romain qui enjambe la Voie Douloureuse est un des plus célèbres de Jérusalem. De ses trois arcades sont assez bien conservées celle du centre, dont la plus grande partie domine la Voie douloureuse, et celle du nord, visible avec le reste de l’arcade centrale dans la basilique de l’Ecce homo. Les restes de l’arcade sud ont été incorporés dans une construction privée. L’aménagement moderne d’une loggia à deux fenêtres à l’étage superieure a porté les guides et les pèlerins à y voir le lieu d’où Pilate avait présenté Jésus au peuple et à donner à l’arc le nom d’Ecce homo, “voici l’homme” en latin, nom qu’il a conservé jusqu’à nos jours Jn 19,5. La propriété des Soeurs de Sion s’étend à droite de la voie douloureuse,depuis le couvent de la Flagellation jusqu’au Prétoire grec orthodoxe. Construit en 1857-1868 par le P. Marie-Alphonse Ratisbonne le couvent renferme une basilique, le dallage dit Lithostrôtos et la grande citerne souterraine que les archéologues identifient avec le Struthion dont parle Flavius Josèphe dans son récit du siège de Jérusalem La Guerre des Juifs, V, 457. Les Grecs orthodoxes possèdent une partie de la contrescarpe de l’Antonia, un tronçon de l’ancien pavé de la rue, des grottes aménagées en écuries et une autre qu’ils présentent comme la prison du Christ. L’ancienne tradition grecque regardait de préférence le côté nord de la rue comme la demeure des grands prêtres Anne et Caïphe Jn 18,12. Un peu plus loin, dans une ruelle, se trouve la Maison d’Erode Antipas Lc 23,6-12 avec une putative Prison de St. Pierre. III. Jésus tombe pour la première fois Passé le prétoire grec, la Voie douloureuse descend vers la vallée du Tyropoeon. Au carrefour de la Vallée, la Voie douloureuse tourne à gauche pour suivre pendant une quarantaine de mètres la rue qui descend de la porte de Damas. Depuis Ricoldus de Monte-Crucis 1294, les pèlerins associent la jonction des deux rues soit à une chute de Jésus soit à la réquisition du Cyrénéen. L’endroit ne rappelle plus aujourd’hui que l’épisode légendaire de la première chute. A l’emplacement de l’entrée de l’ancien bain turc Hammam as-Sultan, à gauche, une chapelle construite dans la seconde moitié du XIXe siècle a été restaurée en 1947-1948 grâce à la générosité de soldats polonais. Elle est précédée d’une grille à laquelle servent de piliers les deux fragments d’une colonne qui, enfoncée partiellement dans le sol, marquait le lieu de la station. IV. Jésus rencontre Marie, sa mère Toute proche de la chapelle une porte, que surmonte un bas-relief du sculpteur T. Zielinski, donne accès à la propriété des Arméniens catholiques, à qui appartiennent la troisième et la quatrième station. La construction de leur église, au fond de la cour d’entrée, dégagea à la fin du XIXe siècle les ruines d’un édifice qui daterait du XIIIe siècle. A l’emplacement de l’abside méridionale, les fouilleurs mirent au jour une mosaïque assez fine qui offrait comme seule décoration deux sandales noires. Du fait que l’emplacement de cette chapelle s’accorde bien avec celui du sanctuaire du Spasme, dont parlent les pèlerins anciens Sancta Maria de Pasmason, certains ont imaginé tout naturellement que les sandales de la mosaïque marquaient le lieu où la Vierge avait assisté au portement de la croix. La chapelle sert aujourd’hui de crypte à l’église des Arméniens catholiques. Il n’y a pas longtemps, la quatrième station se commémorait quelques mètres plus loin sur la Voie douloureuse même, près du débouché d’une ruelle. V. Simon de Cyrène est requis pour porter la croix de Jésus Avant de tourner à droite pour reprendre la direction est-ouest, le pèlerin verra devant lui, à sa gauche, une demeure construite à cheval sur la rue de la Vallée c’est la prétendue maison du Mauvais Riche Lc 16,14-31, signalée depuis le XIVe siècle. Au tournant de la Via Dolorosa, était localisée depuis le XVe-XVIe siècle la maison de Simon le Pharisien, où une pécheresse avait oint les pieds de Jésus Lc 7,36-50. Vers 1850, l’endroit fut choisi pour commémorer la réquisition du Cyrénéen Mc 15,21, en souvenir duquel les franciscains ont aménagé un petit oratoire. VI. Une femme essuie le visage de Jésus Une succession d’arcs-boutants fait de la troisième partie de la Voie douloureuse un des sites les plus pittoresques de Jérusalem, sur laquelle la tradition situe depuis le XVe siècle la maison de Véronique nom latin qui est une approximation du grec Berenikes. La sixième station est indiquée par un fragment de colonne encastré, à gauche, dans le mur d’une demeure qui fait voûte sur la rue. Acheté à la fin du siècle dernier par les Grecs catholiques, le site comprend une église supérieure et une crypte ou des restes anciens peuvent être mis en relation avec une église byzantine dédiée aux Sts. Cosmas et Damien. La “maison de Véronique” est aujourd’hui celle des petites sœurs de Jésus, une congrégation religieuse qui s’inspire de la vie et des écrits du B. Charles De Foucauld. VII. Jésus tombe pour la deuxième fois La Voie douloureuse continue sa montée et rejoint la rue qui vient de la porte de Damas. A ce carrefour se croisaient le cardo maximus la grand-rue et l’un des decumani les voies transversales de l’Aelia Capitolina d’Hadrien. Depuis la fin du XIIIe siècle, les pèlerins situent en cet endroit la porte où les autorités faisaient crier et afficher le texte des condamnations, et par laquelle passait le chemin du Calvaire c’est la “porte Judiciaire“. L’endroit est aujourd’hui associé à une chute de Jésus conformément à l’avant-propos de Burchard du Mont-Sion 1283. Propriétaires du site depuis 1875, les franciscains y ont érigé en en 1894 deux chapelles superposées, où est conservée une grande colonne de pierre rouge, reste du tétrapyle d’Aelia Capitolina. VIII. Jésus parle aux Filles de Jérusalem Après avoir traversé la rue, la Voie douloureuse monte encore pendant quelque 20 mètres, en longeant à gauche l’hospice prussien de Saint-Jean, orné d’une croix de Malte, et le couvent grec de Saint-Caralambos. Une pierre encastrée dans le mur de cette dernière propriété porte une croix latine et les mots grecs “Jésus-Christ vainc” elle marque l’épisode évangélique des Filles de Jérusalem Lc 23,28. Cet épisode a connu au cours des siècles différentes localisations et c’est au milieu du XIXe siècle seulement que les franciscains en ont déplacé le souvenir au-delà de la “porte Judiciaire”. IX. Jésus tombe pour la troisième fois Le pèlerin retourne sur ses pas jusqu’au carrefour de la septième station et s’engage, à droite, dans la rue Suk Khân ez-Zeit “le marché à huile”. Ce détour est nécessité par les constructions exécutées après la mort de Jésus. Mais, bientôt, un nouveau détour oblige le pèlerin à prendre à sa droite le large escalier et le chemin sinueux qui le mèneront à la neuvième station. Un fût de colonne encastré dans le mur du patriarcat copte commémore ici la troisième chute de Jésus. Le repos que Jésus aurait pris ou la chute qu’il aurait faite à l’approche du Calvaire étaient primitivement localisés sur le parvis même du Saint-Sépulcre, à l’emplacement d’une pierre gravée d’une croix. A gauche s’étend une terrasse d’où émerge la coupole de la chapelle souterraine de Sainte-Hélène, et qui occupe une partie du Martyrium constantinien. C’est aujourd’hui le refuge des moines éthiopiens. De là, un passage étroit mène directement à la place en face de l’église du Saint-Sépulcre. Autrement le pèlerin doit de nouveau rebrousser chemin et reprendre la rue du bazar. X. Jésus est dépouillé de ses vêtements L’église du Saint-Sépulcre abrite les cinq dernières stations du chemin de la croix, puisqu’il renferme le Calvaire et le tombeau de Jésus. Entré dans l’église, le pèlerin se dirige immédiatement vers la droite et gravit un des deux escaliers du Calvaire, dont la plate-forme repose en grande partie sur des substructures; seule la partie orientale de la nef gauche est bâtie sur la roche. La dixième station se fait au début de la nef droite. Le souvenir du dépouillement des vêtements Mt 27,35 n’apparaît à Jérusalem qu’à une époque tardive. XI. Jésus est crucifié Quelques mètres séparent la dixième de la onzième station. Le pèlerin se trouve dans la nef latine restaurée en 1937 par A. Barluzzi. Les mosaïques de la voûte sont l’oeuvre de P. D’Achiardi, qui a conservé une figure médiévale du Christ. L’autel de bronze argenté, don de Ferdinand Ier de Médicis, est attribué au dominicain Domenico Portigiani 1588 exécutée en fait pour orner la pierre de l’Onction. Des panneaux y représentent les scènes de la Passion. A droite, une fenêtre grillée donne dans la chapelle des Francs, dédiée à la Vierge des douleurs et à S. Jean. XII. Jésus meurt sur la croix La tradition situe l’érection de la croix et la mort de Jésus dans la partie orientale de la nef gauche. Un disque d’argent placé sous l’autel grec orthodoxe et ouvert au centre marque 1’endroit ou la croix aurait été plantée. Là se dressait probablement à l’époque constantinienne la croix commémorative en bois que l’empereur Théodose II allait remplacer en 417 par une croix d’or et de pierres précieuses. A droite de l’autel, à travers le verre on voit la fente qu’une vieille tradition rattache au tremblement de terre dont parle Matthieu 27,51. XIII. Le corps de Jésus est descendu de la croix Placé entre les deux stations précédentes, l’autel latin de la treizième station est orné d’un buste en bois du XVIe-XVIIe siècle, représentant la Vierge des Douleurs et offert par le Portugal en 1778. À Jérusalem, la scène de la déposition de la croix était généralement liée à celle de l’embaumement Mt 27,57-60 et était généralement localisée à l’ouest du Calvaire où, depuis la fin du XIIIe siècle, est vénérée la pierre dite de l’Onction, qui recouvre le rocher où le corps de Jésus aurait été déposé. Cette pierre, que les pèlerins anciens disent être noire, verte ou blanche, est aujourd’hui constituée par une pierre rouge polie décorée tout alentour par une inscription grecque “Le noble Joseph, en descendant du bois le corps sans péché, est arrivé avec un linceul propre et d’épices aromatiques et l’a enterré dans un tombeau vide”. XIV. Le corps de Jésus est déposé dans le tombeau Pour se rendre au Sépulcre, le pèlerin redescend du Calvaire, passe près de la pierre de l’Onction et près d’une pierre circulaire surmontée d’une grille de ce dernier endroit, les saintes femmes auraient regardé à distance le Christ en croix Mt 27, 55. Le Sépulcre occupe le centre de la rotonde appelée Anastasis Résurrection. Formé de la chapelle de l’Ange et de la chambre funéraire proprement dite, dans sa forme actuelle, il est une restauration grecque de 1810. La chapelle de l’Ange remplace le vestibule primitif du tombeau. Au centre, un piédestal de marbre contiendrait, selon une tradition, un fragment de la pierre roulante qui servait de fermeture. La chapelle communique par une petite ouverture cintrée avec la chambre funéraire, dont subsistent seulement depuis la destruction de 1009 les parties inférieures. Le reste est caché par un revêtement de marbre. Une dalle de marbre recouvre la tombe. Placée en 1555 par le P. Boniface de Raguse, gardien du elle présente une fente dans toute sa largeur. Le sépulcre vide de Jesus Christ est le témoin véritable de sa glorieuse résurrection Mt 28,6. This is a revised summary of a chapter from the valuable book by A. Storme, “The Way of the Cross”, Jerusalem 1984.
Quelques jours avant Pâques, le Vendredi saint, les chrétiens sont invités à revivre le parcours du Christ vers le Golgotha c’est le chemin de Croix. Ayant lieu le plus souvent à 15h et décliné en 14 stations, le chemin de Croix fait mémoire des dernières heures de la vie du Christ, offertes pour nous racheter de nos péchés. Signification et sens chrétien du chemin de CroixQu’est-ce que le chemin de Croix ? Pour les chrétiens, le chemin de Croix désigne le parcours de Jésus vers le lieu de son crucifiement. En effet, avant sa mise à mort, Jésus dû porter sa lourde croix jusqu’au sommet du mont Golgotha, ce qui lui causa de grandes souffrances. Pour l’Eglise catholique, le chemin de Croix évoque la cérémonie qui a lieu en mémoire de ce trajet du Christ. Elle a lieu principalement le Vendredi saint, alors que les fidèles commémorent la Passion du Christ, mais elle est également fréquente lors des vendredis de Carême, ou encore pendant le reste de l’année liturgique. Lorsque l’on évoque un “chemin de Croix”, cela peut aussi désigner l’ensemble des symboles matériels marquant les stations - les crucifix ou les icônes placés dans les églises - ou encore les croix du calvaire que l’on rencontre sur les routes de campagne. L’expression “chemin de croix” a également été reprise pour désigner une épreuve difficile de la vie. Le chemin de Croix se déroule souvent au cours d’une marche ou d’une procession, dans une église ou dans un lieu reproduisant la montée au Calvaire. Il peut s’effectuer en groupe, dans le cadre de pèlerinages ou au sein de communautés religieuses, ou bien de façon privée. Le trajet du Christ est évoqué en quatorze moments particuliers, appelés ”stations”, qui sont relatés dans les évangiles ou qui découlent de la tradition chrétienne. A chaque station, une méditation est apportée, ainsi que des prières qui ont lieu devant des tableaux, des crucifix ou d’autres formes de est le sens chrétien du chemin de Croix ? Pour les fidèles, réaliser un chemin de Croix est un acte de commémoration de la Passion du Christ l’Eglise nous invite à suivre Jésus en nous unissant intimement à ses souffrances au cours d’un "pèlerinage" spirituel marqué par trois aspects la marche, la prière et la méditation. En effet, les fidèles sont appelés à cheminer dans les pas du Christ, à se laisser conduire sur le chemin qu’il propose en se faisant véritablement ses disciples ! Puis, par la méditation de chaque épreuve de son chemin de Croix, les pèlerins font mémoire des souffrances qu'endura le Christ pour nous et contemplent ainsi le grand mystère de l’amour de Dieu, alors qu’il donne son fils Jésus pour nous racheter de la mort et du péché. Enfin, par la prière, chacun peut offrir les propres souffrances de sa vie ses épreuves, ses déceptions, afin que le Christ vienne transfigurer nos vies par son mystère pascal ! Réaliser un chemin de Croix, c’est reconnaître l’amour infini de Dieu pour nous, c’est accepter de suivre Jésus et de le reconnaître comme notre Sauveur ! C’est aussi faire acte de pénitence en se reconnaissant pécheur et implorer le pardon et la miséricorde de Dieu. Enfin, il ne faut pas oublier que cette démarche s’inscrit déjà dans la joie de la fête de Pâques, qui marque le sommet de toute vie chrétienne la Passion et la mort du Christ ne prennent sens que par sa glorieuse Résurrection ! Les 14 stations méditées du chemin de Croix Station 1 Jésus est condamné à mort »“Seigneur, tu as été insulté par la foule dont tu avais guéri les malades. Tu as été condamné par un homme, un homme comme nous, une de tes créatures, condamné quand tu étais innocent. Toi, le seul pur, le seul vrai, le seul saint, un homme coupable, un pécheur, t'a jugé. Tu es resté silencieux et doux.”Station 2 Jésus est chargé de sa Croix »“Seigneur, on te présente la Croix, cette Croix que tu as toujours attendue. C'est à elle que tu pensais quand tu étais au milieu de tes apôtres, c'est vers elle que tu allais quand tu montais à Jérusalem. Tu l'as saisie comme l'outil de notre rédemption.”Station 3 Jésus tombe pour la première fois »“Seigneur, la Croix pèse lourd sur tes épaules déjà toutes labourées de durs sillons, rongées par la flagellation. Tu es fatigué, épuisé, tu heurtes les pierres du chemin et tu tombes avec la Croix. Apprends-nous à accepter les échecs et les humiliations.”Station 4 Jésus rencontre sa Mère »“Ta mère est là, Seigneur. Elle ne pleure pas sa souffrance, mais elle mêle ses larmes à tes larmes. Elle ne se met pas en travers du chemin, mais elle te suit. Elle s'unit à toi. Elle nous rachète avec toi.”Station 5 Simon de Cyrène aide Jésus »“Seigneur, tu as voulu être aidé. Ce n'est pas que tu ne puisses toi-même terminer ta Passion, mais tu veux que nous fassions notre part du travail, et l'ajoutions à la tienne. Tu nous fais l'honneur de vouloir de nous pour le salut du monde.”Station 6 Une femme essuie le visage de Jésus »“Parmi cette foule ameutée, une femme s'avance, elle essuie ton visage, et tes traits purs réapparaissent. Autour de nous le monde te méconnaît, mais il ne peut te connaître qu'à travers les chrétiens. C'est nous qui donnons de toi, trop souvent, une fausse image.”Station 7 Jésus tombe pour la deuxième fois »“De nouveau, Jésus tombe. Seigneur, tu as voulu tomber pour nous apprendre que, malgré nos chutes, tu nous aimes encore et que jamais nous ne devons nous décourager.”Station 8 Jésus parle aux femmes de Jérusalem »“Les femmes de Jérusalem se lamentent devant la souffrance. Elles ne savent pas que tes souffrances, ce sont les souffrances de tous les petits, de tous les vaincus de la vie, de ceux qu'on méprise, de ceux qu'on opprime. Elles ne voient pas le péché du monde.”Station 9 Jésus tombe pour la troisième fois »“Une autre fois encore, une troisième fois, tu es tombé sur la route. À travers tous les siècles, ton regard découvre tous ceux qui ne profiteront pas de ton sang, tous les cœurs fermés et ceux que la misère ou la malice des autres éloignera de toi, ceux qui ne comprendront pas ta preuve d'amour.”Station 10 Jésus est dépouillé de ses vêtements »“Seigneur, tu étais nu sur la paille. Te voilà à nouveau dépouillé de tout pour mourir. Tu n'as plus rien, puisque tes vêtements sont tirés au sort. Avec quelle force ne nous cries-tu pas d'aimer la pauvreté !”Station 11 Jésus est cloué sur la Croix »“Tu t'étends sur la Croix et l'on t'y attache avec des clous. Tu donnes ton corps tout entier, tous tes membres. Tu donnes ta liberté. Seigneur, quel exemple, et quelle preuve d'amour !”Station 12 Jésus meurt sur la Croix »“Il n'y a pas de plus grande preuve d'amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime. Tu l'as dit, Seigneur, et tu le fais jusqu'au bout, jusqu'à l'extrême limite de la souffrance. Tu nous aimes jusqu'à la mort.”Station 13 Jésus est détaché de la croix et remis à sa Mère »“On le détache de la croix. On le remet à sa mère. Le Fils et la Mère sont là. Il n'y a plus désormais qu'une seule douleur, celle de Marie, qui doit continuer encore la rédemption. Elle est le trait d'union entre celle de Jésus et celle du monde.”Station 14 Jésus est mis au tombeau »“Le Christ est au tombeau. Nous mourrons un jour, mais ce sera pour vivre. En attendant, s'il faut souffrir, échouer parfois, être vaincu en apparence, nous saurons la valeur de nos souffrances, le sens de nos échecs, la vérité sur notre sort. Le Christ mort ressuscitera.”Une quinzième station est parfois ajoutée elle représente le tombeau vide et symbolise ainsi la Résurrection du Christ. Cette dernière station met ainsi l’accent sur la victoire de Jésus sur la mort et relie chacune des stations au mystère pascal, indissociable de la Passion de Jésus ! Priez avec Hozana ! Le Vendredi saint est le jour où Jésus donne sa vie en rançon pour la multitude ! Regardons celui qui a été “élevé” pour nous sur la croix, adorons-le pour nous et pour toute l'humanité ! Avec Hozana, priez et méditez au jour du Vendredi saint grâce aux belles communautés de prières proposées Méditez sur les sept paroles du Christ en Croix, en images et en musique. Contemplez en musique le mystère de la Croix en recevant des chants sacrés et des 24 jours, écoutez ou lisez une heure de la Passion de notre Seigneur Jésus Christ afin de réparer avec lui pour nos péchés et ceux du monde.
Il y a quelques jours, nous sommes partis nous promener sans trop savoir où on allait. On s'est retrouvé 1 heure plus tard au Markstein, Le Markstein est un massif des Vosges qui s'élève à 1265 mètres d'altitude.Après avoir admiré la vue panoramique et mangé un sandwich, nous voilà repartis en direction de Soultzmatt. Nous avons atterri près d'un cimetière militaire roumain. Je vous en parlerai dans un autre article. Après avoir garé le Renault Master près d'une petite chapelle, nous avons poursuivi à le chemin forestier, j'ai été surpris de voir des croix à peu près tous les 100 mètres et des dates étaient gravées dessus de différentes avoir parcouru une centaine de kilomètres avec notre camionnette, j'ai été content de retrouver ma chambre. Chapelle du Val du Pâtre SchaeferthalChapelle de style gothique se trouvant sur un méplat de la Gauchmatt, sur les hauteurs boisées à l'ouest de la commune sur la route reliant Wintzfelden hameau et Orschwihr. La clairière aménagée près de la Gauchmatt semble déjà connu à l'époque des Mérovingiens. Selon la tradition la chapelle est mentionnée dès le XIIIe siècle à l'emplacement d'un ancien ermitage. Ce lieu historique est connu dès 1339, lorsque les Laubgassen originaire de Suntheim, village aujourd'hui disparu en furent propriétaire. Cette famille noble reçu en sous fief le Schaeferthal des Sires de Ribeaupierre. La chapelle dédiée à la Sainte Vierge devient alors un lieu de pèlerinage fort fréquenté qui est restaurée au XVIe siècle. D'autres travaux furent réalisés en 1511, puis à nouveau dès les travaux on a utilisé les pierres provenant du couvent Augustin de Schwartzenthann construit en 1117 et en ruine depuis 1543. La chapelle dispose d'un clocheton à bulbe qui est caractéristique du baroque allemand. Les vitraux du XIXe siècle sont l'œuvre d'un maître verrier, de croixÀ côté de la chapelle du Val du Pâtre se trouve un ancien de chemin de croix, sur le chemin reliant Soultzmatt au Schaeferthal. L'origine de ce chemin de croix remonte à 1778 et fut érigé par de pieux bourgeois-vignerons de Soultzmatt pour demander à la Vierge Marie de préserver les récoltes. Ce chemin de croix comporte quinze stations dont la dernière relate l'invention de la croix par Sainte Hélène, la mère de l'empereur Constantin. Cette croix fut offerte par une dame noble de Wassersteltzen.