Lecollectif Pas de bébés à la consigne s’est adressé aux administrateurs de la CNAF en leur envoyant un texte argumenté pour leur demander de ne pas émettre un avis favorable sur ce projet de décret. Vous trouverez ci-après cette adresse aux administrateurs CNAF qui développe nos motifs d’inquiétude sur les conséquences préjudiciables du décret pour la
Jeudi28 mars 2019, une soixantaine d'agents, salariés, professionnel.le.s de la petite enfance étaient rassemblé.e.s devant la Préfecture de Chambéry. Cet appel était à l'initiative du collectif "pas de bébé à la consigne" qui appelait à un mouvement national. Le collectif CGT petite enfance a organisé ce rassemblement afin de protester contre la réforme des
Jevous informe que le collectif "pas de bébés à la consigne" appelle à nous mobiliser suite aux projets gouvernementaux concernant les modes d'accueil des jeunes enfants. Il est donc organisé une Manifestation : le samedi 5 décembre à Paris à 14h30 place de l'Opéra. Mobilisons- nous pour des modes d'accueil de qualité pour les jeunes enfants !!! Pour
Pas de bébés à la consigne » a donc décidé d’appeler à une journée nationale de grève contre la réforme Taquet des modes d’accueil le 2 février 2021. Nous appuyons cette démarche. Nous avons par ailleurs lu les objectifs que le secrétaire d’État à la famille se fixe pour l’année 2021 : FAIRE DE CETTE ANNEE UNE ANNEE UTILE ! Il a également
Grèveà la crèche de Vellefaux ce jour face aux menaces pesant sur l’accueil et l’encadrement. « Pas de bébés à la consigne » Pour soutenir votre journalisme local, abonnez-vous !
Suiteà la manifestation de notre opposition aux mesures envisagées, le gouvernement vient d’annoncer le 2 avril 2009, par la voix du directeur de cabinet de Madame Morano, secrétaire d’Etat à la famille, que les taux d’encadrement des enfants dans les établissements et services d’accueil ne seraient pas modifiés (un adulte pour 5 bébés et un adulte pour 8
Dela Caisse des écoles à la préfecture de Limoges, le cortège du collectif « Pas de bébés à la consigne » a fait savoir, ce mardi, son désaccord avec les projets du gouvernement.
Veniravec pique-nique et des boites à chaussure pour confection de boite à consigne géante. Nîmes : Le collectif 30 ’pas de bébés à la consigne’ réunissant CGT, Solidaires,
Pasde bébés à la consigne s’appuie dans sa mobilisation sur l’avis défavorable émis le 15 avril 2021 par le conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF) sur le projet de décret mettant en œuvre certaines dispositions de l’ordonnance, concernant notamment l’encadrement et la qualification en accueil
Pasde bébés à la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifesté, ce 30 mars, en début d’après-midi,
uG9VS. l'essentiel Comme un peu partout en France, les professionnelles de la petite enfance étaient dans la rue, ce mardi 30 mars, pour s’opposer à la réforme de l’accueil du jeune enfant. Pas de bébés à la consigne !" Avec ce slogan reprenant le nom de leur collectif, les professionnels de la petite enfance ont manifesté, ce 30 mars, en début d’après-midi, dans les rues de Carcassonne. L’objet de leur mécontentement l’article 99 de la loi d’Accélération et de simplification de l’action publique Asap sur la réforme de l’accueil des jeunes enfants. Une loi portée par Adrien Taquet, secrétaire d’État en charge de l’Enfance et des Familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, publiée le 8 décembre dernier et dont le décret d’application est prévu pour septembre. "Cette réforme compile tout un tas de petites choses qui nivellent l’accueil des plus petits par le bas", certifie Delphine Le Douarec, représentante de la Fédération nationale des éducateurs de jeunes enfants Fneje. Parmi elles, la réduction du nombre de mètres carrés dévolu à chaque bébé les normes actuelles sont fixées à 7 m2 et devraient passer à 5 m2. "Cette disposition est clairement faite pour Paris où le manque de locaux est flagrant. Mais, ici ! De fait, quand un gestionnaire va vouloir construire une crèche, il va s’orienter vers des bâtiments plus petits… qui lui reviendront moins cher. Et le bien-être des enfants, on en fait quoi ?", peste Marie-Josée Albérola, responsable de crèche à Narbonne. De même, la baisse de qualification on pourra diriger une crèche sans expérience ; un apprenti sera compté dans les taux horaires ou l’augmentation du nombre de bébés par encadrant de cinq pour un on passerait à six pour un inquiètent les manifestantes "Et pour les sorties ? Aujourd’hui, c’est un adulte pour deux enfants logique, on n’a que deux mains. Mais à l’avenir, ce sera jusqu’à un pour cinq ! Comment va-t-on faire, sachant qu’un enfant qui marche, il faut lui tenir la main, sinon, il s’échappe ? Pareil pour l’ouverture et la fermeture des structures nous sommes systématiquement deux, ce sera un à partir de septembre", souligne encore Delphine Le compensationEn guise de compensation, l’article 99 de la loi Asap prévoit d’accorder une demi-heure d’analyse de pratique par personne et par mois "Mais nous l’avons déjà mis en pratique dans beaucoup de structures et sur un volant d’heures plus large. Parce qu’on fait de plus en plus de soutien à la parentalité ou d’accompagnement d’enfants en difficultés. À Narbonne, par exemple, l’analyse des pratiques, c’est trois heures par mois. Notre métier a beaucoup évolué ces dernières années", précise Marie Josée les professionnelles de la petite enfance, toutes les mesures engagées visent à "créer des places de crèches sans donner de moyens, au contraire". Voilà pourquoi environ 80 d’entre elles ont battu le pavé ce mardi après-midi "Ce qui peut paraître peu mais on ne veut pas, non plus, pénaliser les enfants et les parents des sections ont fermé mais les autres sont restées ouvertes avec des personnels montrant clairement sur un brassard leur opposition à cette loi", conclut Delphine Le Douarec.
vendredi 10 avril 2009 popularité 10% La volonté des Pouvoirs Publics de développer l’offre d’accueil du jeune enfant avec la création de 200 000 places d’accueil d’ici à 2012 est légitime. Mais les propositions de modification du décret du 20 février 2007, relatif aux établissements et services d’accueil, si elles sont maintenues, s’orientent vers une dégradation de la qualité d’accueil du jeune enfant. Suite à la manifestation de notre opposition aux mesures envisagées, le gouvernement vient d’annoncer le 2 avril 2009, par la voix du directeur de cabinet de Madame Morano, secrétaire d’Etat à la famille, que les taux d’encadrement des enfants dans les établissements et services d’accueil ne seraient pas modifiés un adulte pour 5 bébés et un adulte pour 8 enfants qui marchent. Cependant d’autres dispositions pourraient être prises Diminution de la qualification du personnel la proportion des professionnels les plus qualifiés éducateurs de jeunes enfants, puéricultrices et auxiliaires de puériculture serait revue à la baisse. Projet de jardin d’éveil confirmé mais demeurant extrêmement vague, sauf pour le taux d’encadrement des enfants qui serait également réduit un adulte pour 12 enfants de 2 à 3 ans au lieu d’un adulte pour 8 enfants aujourd’hui. Augmentation des capacités d’accueil en surnombre portées à 20% au lieu de 10% actuellement. Pourtant, les connaissances sur le développement du jeune enfant ... Lire le texte complet de la pétition et la signer en ligne Site de la pétition
Petite enfance - "Pas de bébés à la consigne" toujours mobilisé Publié le 14 mars 2011 Social, Jeunesse, éducation et formation Quelques centaines de professionnels de la petite enfance ont fait grève et ont manifesté vendredi 11 mars en France, pour réclamer un "accueil de qualité" pour les tout-petits, une mobilisation qui a conduit à de nombreuses fermetures de crèches, notamment à Paris. A Paris, une délégation du collectif "Pas de bébés à la consigne" a été reçue au ministère. "Nous avons exposé notre plan d'urgence pour la petite enfance", qui porte des revendications comme le retrait du décret assouplissant les règles d'accueil, a indiqué à l'AFP Pierre Suesser au nom du collectif. "Nous avons convenu de nous revoir en avril", a-t-il ajouté. A Paris, sur 421 établissements, la mairie a recensé 136 fermetures et 75 ouvertures partielles avec un total de 417 grévistes sur personnels. Selon le collectif, 67 crèches sur 76 étaient fermées totalement dans le Val-de-Marne. Trente et une étaient totalement fermées, et 24 partiellement, sur 59 en Seine-Saint-Denis. A Bordeaux, environ 150 des quelque 500 salariés soit 34,30% de grévistes des 30 crèches étaient en grève, selon la mairie. Huit structures étaient totalement fermées et sept partiellement. A Nancy, 8 crèches sur 12 étaient fermées. A Strasbourg, 65 agents ont été recensés par la mairie comme grévistes, soit environ 45% des effectifs. A Lyon, d'après la mairie, 18 crèches étaient fermées vendredi, 10 étaient perturbées et 20 étaient ouvertes. La grève semblait moins suivie à Grenoble, avec, sur 33 crèches, trois fermées toute la journée, selon le Centre communal d'action sociale. Des rassemblements modestes ont rassemblé quelques dizaines de personnes à Annecy, Nancy ou encore Besançon. Depuis déjà plus d'un an, certains professionnels protestent contre le décret du 7 juin 2010 portant sur les établissements et services d'accueil des enfants de moins de 6 ans qui assouplit les règles d'accueil en crèche, en augmentant le taux maximal de personnels non qualifiés en remplaçant par exemple des auxiliaires de puériculture ou éducateurs par des CAP "Petite enfance" et en permettant aux crèches d'accueillir plus d'enfants. A l'issue de la rencontre de vendredi, le ministère a fait valoir dans un communiqué que l'une des priorités est bien "d'offrir une solution de garde de qualité aux parents en améliorant la capacité d'accueil des jeunes enfants", avec un objectif de 200 000 places d'accueil supplémentaires d'ici 2012, sachant que "par ailleurs, une réflexion est menée pour un bilan d'étape du plan Métier Petite Enfance de décembre 2008". Le ministère assure également qu'"à l'exception de la garde au domicile des parents, tous les modes d'accueil continueront de faire l'objet d'un contrôle et de normes de fonctionnement qui visent à en garantir la sécurité et la qualité"… et prend soin de relever que "ce sont les départements - conseils généraux et leurs services de protection maternelle et infantile - qui sont chargés d'agréer et de contrôler les crèches et les assistantes maternelles". Tout juste deux jours plus tôt, Roselyne Bachelot avait présenté en Conseil des ministres une communication relative à "la mise en œuvre à mi-parcours du plan de développement de la garde des jeunes enfants 2009-2012", qui rappelait là encore l'objectif de " solutions de garde individuelles et collectives supplémentaires en quatre ans" et indiquant que "concernant l'accueil collectif, environ places nouvelles ont été créées en deux ans", lesquelles "ont bénéficié à environ 46 000 enfants en 2009 et en 2010". En préambule de son "plan d'urgence", le collectif Pas de bébés à la consigne estime quant à lui qu'il manque "au moins 300 000 à 400 000 places pour l'accueil des tout petits". Et met l'accent sur le glissement sémantique souvent opéré entre "places" et "solutions d'accueil" et sur ce qu'implique la notion d' "amélioration du taux d'occupation". Dans ses propositions ou revendications, il insiste notamment sur la question de la formation et de la promotion professionnelle, sur "la création de nouvelles structures collectives publiques ou à but non lucratif" abondées par l'Etat, la Cnaf et les collectivités, ou encore sur le caractère préjudiciable du système de la prestation de service unique PSU de la Cnaf pour le financement de l'accueil collectif financement à "l'heure de présence".